© Enfants de Medjugorje 2003
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Le 15 mars 2003

Vicka : Je pense que je retournerai bientôt sur mon petit escalier !

Question : Oh, ton escalier !? Les gens seront très contents !

Vicka : - Pour moi aussi, ce sera une grande joie! Tu vois, je suis heureuse avec ma famille et ma fille, mais je veux dire qu’être avec les pélerins est une grande joie qui me remplit le coeur. Leur transmettre les messages de la Vierge et pouvoir à mon tour leur communiquer l'amour que la Vierge m’a donné…

Q : - En ce moment, on parle beaucoup de la guerre. Peux-tu expliquer comment sauvegarder la paix ?

Vicka : La Vierge ne parle jamais de guerre. Et tu sais bien, ma soeur, qu’ici, nous avons eu la guerre ! Pour ma part, la Vierge ne m'a donné aucun message sur l’éventualité d’une guerre. Mais ça se voyait à son visage, à son comportement, à sa manière de se présenter... Elle portait une grande souffrance. Et peu à peu, la guerre est arrivée. Elle ne nous a jamais fait peur en nous disant qu’une guerre éclaterait ou que nous devions faire ceci ou cela. Toutefois, avant que la guerre n’éclate, elle nous a dit si souvent, (comme elle le fait maintenant) que nous pouvions empêcher les guerres par notre jeûne et notre prière. Alors nous devons l'aider par notre jeûne et notre prière, afin d’empêcher ces guerres d’arriver !

Q : À l’école de la Vierge, qu’est-ce que la vraie paix, la paix divine et non simplement humaine ?

Vicka : - Comme la Gospa nous l'a déjà enseigné, la première chose à faire est de se libérer de tout ce qui est négatif à l'intérieur de notre coeur, de le nettoyer de la moindre parcelle négative... Et ensuite, demander cette grâce de paix à la Vierge. Lorsque je demande à la Gospa de me donner la vraie paix, la sérénité, lorsque je demande avec le coeur, elle me la donne ! Il suffit de demander ! Mais il faut demander avec confiance et avec amour ! Et demander d’être changés ! La paix ne nous tombe pas en prononçant un simple mot ! Tu vois, aujourd'hui il y tellement de gens qui disent : je veux la paix, je veux la paix ! Ce ne sont là que des mots ! Il faut dire : je veux changer ! Je veux nettoyer mon cœur ! Après cette purification intérieure, la paix vient alors dans mon cœur…

Q : En ces temps un peu particuliers pour le monde, comment est le visage de la Vierge lorsqu’elle se présente à toi ?

Vicka : À mon avis, elle est assez contente ! Je ne veux pas dire qu’elle est très contente, mais assez contente ! En fait, je peux lire sur son visage, comme toi et moi pouvons nous voir maintenant…

Q : Selon toi, qu’est-ce que l’Année du Rosaire va pouvoir changer ?

Vicka : Tu sais, tout dépend de nous, de la manière dont nous écoutons ce que veut le pape. Depuis tant de temps la Gospa recommande la prière du Rosaire ! Et maintenant que l'on a ces nouveaux Mystères, alors on le prie encore plus. C'est certainement une grande joie de les vivre ! On ne doit pas se dire : voilà, il y a un nouveau chapelet, qu'est-ce qu'on fait ? Non, nous devons commencer ! C'est lorsque nous aurons commencé que nous sentirons dans nos coeurs ce que cela signifie, ce que veut faire le Seigneur. D'abord, on fait les choses, et après on en voit les fruits.

Q : Une question un peu étrange maintenant... Imagine que le président Bush vienne maintenant te voir ici, que lui dirais-tu ?

Vicka : Je peux dire ceci : En ce moment, je prie aussi pour l'Irak, pour l'Amérique. Peu importe que Bush vienne, je dis la vérité telle qu'elle est ! Tu comprends, s'il venait maintenant, je n’aurais pas de paroles particulières pour lui. Comme la Vierge l'a dit, elle aime tout le monde d'un même amour. Et moi aussi, j'essaie de prendre son amour à elle pour aimer tous les hommes comme elle les aime. Que Bush vienne ici, ou quelqu'un comme Saddam, je leur dirais ceci comme à tous : Ils doivent agir en tout selon leur conscience. Voilà ! Et pour le reste, nous prions seulement. Nous prions et nous les recommandons à la Vierge afin qu'elle puisse aider.

...À suivre

J’ai été témoin des mêmes fruits il y a 16 ans alors que j’enseignais au Lycée St Joseph (États-Unis). Ainsi, au Département de Théologie, le tiroir d’un bureau était rempli de chapelets. Pendant onze ans, personne n’y avait touché. Je ne me souviens pas qu’un étudiant ou qu’un professeur en ait pris un seul. Or, après qu’on ait eu vent des apparitions de Marie à Medjugorje, non seulement tous ces chapelets avaient disparu, mais, dans les deux années qui suivirent, je ne pus jamais avoir assez de chapelets pour répondre à la demande des étudiants. Venant de familles protestantes, juives, serbes-orthodoxes et même athées, les étudiants en réclamaient pour eux-mêmes, pour leurs familles et amis ! Des jeunes filles en demandaient pour les amis avec lesquels elles sortaient, et parfois priaient même pendant leurs rencontres. La foi de ces jeunes, enflammée par l’appel de Marie à Medjugorje, incitait des familles entières à se mettre à prier le Rosaire !

Au lendemain d’un de mes pèlerinages, Heather, une étudiante de 15 ans, témoigna de la puissance du Rosaire prié par des jeunes : "En votre absence, Monsieur Nolan, nous avons prié une dizaine de chapelet avant chaque cours. Votre remplaçant était contre (il pensait que nous cherchions à gratter sur l’heure de cours). Nous l’animions nous-mêmes. Il y a quelques jours, alors que nous donnions tour à tour nos intentions de prière, j’ai dit tout haut : "Prions pour que Dieu protège mon frère Brian." [Heather m’expliqua plus tard que j’avais dit à un cours: "Si vous n’avez pas d’intention particulière, priez pour les membres de votre famille." Elle avait alors pris l’habitude de prier pour son frère.] Le matin suivant, mon frère avait un rendez-vous d’affaire avec une dame, à l’hôtel Ramada Inn d’Indianapolis. Il eut alors un imprévu et il vit qu’il aurait dix minutes de retard à son rendez-vous. Il appela la dame pour le lui signaler. Exactement dix minutes après l’heure initiale du rendez-vous, alors que mon frère se garait au parking du Ramada Inn, il vit un Jet s’écraser sur l’hôtel, piquant du nez juste dans la pièce où cette femme l’attendait." Quelle chance pour Brian d’avoir une soeur qui avait pris l’habitude de le placer chaque jour sous le manteau de la Vierge en priant sa dizaine de chapelet avant ses cours ! Il reconnaît que la foi de sa sœur lui a sauvé la vie. C’est l’appel de Marie à Medjugorje qui avait vivifié la foi de Heather et qui l’avait encouragée, elle et sa classe, à dire une dizaine avant chaque cours !

Dans son message aux jeunes du 11 mars, le Saint Père ajoute : "Prenez l’habitude de réciter [le rosaire] entre vous, dans vos groupes, vos mouvements et associations ; n’hésitez pas à proposer à vos parents, frères et sœurs de le réciter à la maison, car il ravive et renforce les liens entre les membres de la famille." Le rosaire prié par les enfants peut sauver la famille ! Une autre étudiante nous confia que, quelques semaines auparavant, son père était venu dans sa chambre pour lui annoncer que sa mère et lui allaient divorcer. Linda, qui était en dernière année de secondaire, décida avec son frère Brian, de deux ans plus jeune qu’elle, d’aller réciter le rosaire dans la cave tous les soirs. Une semaine plus tard, son père revenait dans sa chambre pour lui annoncer qu’il n’était plus question de divorcer. La semaine suivante, il allait à la messe avec sa famille, ce qu’il n’avait pas fait depuis 10 ans ! Elle me dit que, la semaine d’après, la vie de la famille était plus heureuse qu’elle ne l’avait jamais été auparavant ! Tout cela venait de ce que son frère et elle avaient récité le rosaire chaque soir. La famille était alors placée sous le manteau protecteur de Marie, Reine de la Paix (voir PS).